les uns et les autres..

Les uns : ponctuels, assidus et appliqués : Pierre, Pascal, Yves, Régis, Xavier, Jean Claude, Dominique (quand il peut) et moi-même. Tout ce petit monde n'hésite pas à braver les intempéries, la fatigue et le stress pour aller entretenir sa forme physique et pratiquer un sport complet et vivifiant : la natation, avec tout ce que ce sport comporte de difficultés et d'ingratitude, parfois.

Les autres : (l'autre devrais-je plutôt écrire !!) un type qui, promis, juré, viendrait en décembre : "Dès que la saison du brochet serait terminée"................. Voilà, Décembre tire à sa fin (eh oui ! On est déjà le 5, et un mois commencé est un mois terminé [voyez les assureurs !]) et... On n'a toujours pas vu le maillot de bain de ch'René !! Ni René dedans, d'ailleurs. Et pourtant, il l'avait annoncé !
Bref, comme dijot min grand père : "Grand dijeux, tiot fajeux !"

A vous revoir

Signé : l'un des uns

Monsieur le Président,
Je vous fais une lettre que vous lirez peut être si...
Il est vrai que j'ai écrit et dit que j'allai retourner à la piscine mais dès que la pêche au brochet serait fermée ou si le marais gelait : je ne suis pas très physicien, mais les vagues et lointains souvenirs scolaires qui s'accrochent avec véhémence à mon cerveau, resurgissent pour me rappeler que l'eau gèle à partir de zéro degré.
De plus, sur une étendue telle que : un lac, un marais, la mer, toute surface aquatique, lorsque les températures sont de l'ordre de -4, -5 minimum pendant plusieurs jours, sans dégel, sans vent... la glace prend. Même s'il fait moins doux ces derniers jours toutes ces conditions énumérées ci-dessus ne sont pas remplies pour geler le marais.
Je pense que vous avez été suffisamment à l'école pour apprendre à lire et je vous signale que dans un de mes post j'avais signalé que la fermeture de la pêche aux carnassiers est fixée au 31 Janvier. Soit vous ne prêtez pas assez d'attention à mes post soit la mémoire vous fait défaut ou alors tout simplement vous êtes impatient de me voir tant vous m'aimez.
Mon cher Président que j'aime et que j'adore, prenez donc patience, attendez février ou qu'il gèle pour me voir flotter...


René.